Cette semaine, je vous propose, en REPLAY, une réflexion basée sur la lecture d'un livre que j'ai trouvé inspirant et que je partage avec vous.
Parmi les épisodes à venir au fil des semaines à venir :
Un confrère me disait : les gens ne maîtrisent plus rien, même pas leur agenda.
Dans des contextes qui restent finalement très hiérarchiques, où une priorité pousse l’autre, les gens auraient tendance à suivre, toujours en mode réactif. Une cliente me disait « ici, ils courent comme des poulets sans tête ».
Nous avons tous, à un moment ou un autre, cette impression d’être plongés, ou de voir les autres plongés dans une course infernale.
Infernale parce que ce n’est pas juste un 100m et que personne ne sait quand elle finit et pas même qui décidera qu’elle prend fin.
Infernale parce que si on se demande pourquoi on court, cette question apparaît tellement vertigineuse qu’elle plonge dans la panique … le moins inconfortable consiste à reprendre la course. Infernale parce qu’on connaît tous quelqu’un qui a fait un burn-out.
Infernale parce qu’au fond, courir ainsi ce n’est pas vivre, c’est survivre. Et c’est bien dommage de se cantonner à un mode de survie quand on n’est pas en danger de
mort. Pas encore.
Aujourd’hui, je vous propose une réflexion sur le temps long et le court terme - sur la capacité et l’intérêt que nous avons à penser le temps long dans un monde où tant de personnes autour de nous semblent centrées sur le très court terme. Je vous partage quelques idées et vous me dites, quand vous voulez, par le moyen de votre choix, ce que vous en pensez. Cet épisode s’appuie sur un livre, celui de Dorie Clark, auteur du « Long game ».
Musique Tella, Amel Brahim Djelloul – New York, Riopy – Attraction, Riopy, avec l’autorisation de la SACEM.
Disponible sur toutes les plateformes et en particulier sur :
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